20110731

Le nationalisme français du Figaro

Il est intéressant de voir que vous manquez de référence, Chre journaliste du Figaro ; c'est pourtant la copie-collée de la décision du Conseil général de Pyrénées Orientales pour le catalan. Ceci voilà plus de trois années et aucun article dans la presse parisienne ; faut-il avoir été le théâtre de violences nationalistes françaises et de réponses corses, pour avoir droit à des lignes sur Le Figaro ?
Il n'y a que le nationalisme français pour être sceptique, et qui puisse décrire ainsi les subordonnés ou soumis (?), donc on peut le lire dans Le Figaro, l’expression de l’industrie militaire française.

Langue Corse LeFigaro

C’est qu’en même très intéressant de lire les commentaires de ce billet, il semble que les Français aient bien intégrer la notion d’apartheid linguistique ; il y aurait les langues de première catégorie et les langue de deuxième catégorie (les patois, pour rester dans le ton nationaliste français).

Ce nationalisme linguistique français ne critique jamais les méthode du Québec pour imposer le français, et ces modèles furent tout simplement introduit en Catalogne et Euskadi.

Mais il y a un progrès, pour la langue catalane, il n’en ont pas parlé ; pourtant, c’était à Perpinyà, c’est leur zone de chasse, non ?

Et Le Figaro ne serait pas l’expression d’un système identitaire d’expansion linguistique franchouillarde, non pas un seul moment … Ils me font rire ces Français.

Là il est un moment ou il faut féliciter Ségolène Royal, avant de penser sur le thème elle s’est déplacée à Rodés, pour L’Estivada (voir deux billets sur ce blog pris en référence); il me semble que les organisateurs n’ont vu aucun “journaliste” du Figaro. Il me semble aussi que sur ce site, il est demandé la co-officialité de l’occitan et du français en Occitània, peut-être que c’est des extrémistes selon … Le Figaro ! Donc, on peut les croire en la matière, eux le sont pour leur français.

Vaquí çò podèm pensar del nacional-expansionisme francés, una expression d’extremisme republican !

radical Occitània

Et alors en chanson, le contre-feu est là :

La Tròba Kung Fú