20110731

Le nationalisme français du Figaro

Il est intéressant de voir que vous manquez de référence, Chre journaliste du Figaro ; c'est pourtant la copie-collée de la décision du Conseil général de Pyrénées Orientales pour le catalan. Ceci voilà plus de trois années et aucun article dans la presse parisienne ; faut-il avoir été le théâtre de violences nationalistes françaises et de réponses corses, pour avoir droit à des lignes sur Le Figaro ?
Il n'y a que le nationalisme français pour être sceptique, et qui puisse décrire ainsi les subordonnés ou soumis (?), donc on peut le lire dans Le Figaro, l’expression de l’industrie militaire française.

Langue Corse LeFigaro

C’est qu’en même très intéressant de lire les commentaires de ce billet, il semble que les Français aient bien intégrer la notion d’apartheid linguistique ; il y aurait les langues de première catégorie et les langue de deuxième catégorie (les patois, pour rester dans le ton nationaliste français).

Ce nationalisme linguistique français ne critique jamais les méthode du Québec pour imposer le français, et ces modèles furent tout simplement introduit en Catalogne et Euskadi.

Mais il y a un progrès, pour la langue catalane, il n’en ont pas parlé ; pourtant, c’était à Perpinyà, c’est leur zone de chasse, non ?

Et Le Figaro ne serait pas l’expression d’un système identitaire d’expansion linguistique franchouillarde, non pas un seul moment … Ils me font rire ces Français.

Là il est un moment ou il faut féliciter Ségolène Royal, avant de penser sur le thème elle s’est déplacée à Rodés, pour L’Estivada (voir deux billets sur ce blog pris en référence); il me semble que les organisateurs n’ont vu aucun “journaliste” du Figaro. Il me semble aussi que sur ce site, il est demandé la co-officialité de l’occitan et du français en Occitània, peut-être que c’est des extrémistes selon … Le Figaro ! Donc, on peut les croire en la matière, eux le sont pour leur français.

Vaquí çò podèm pensar del nacional-expansionisme francés, una expression d’extremisme republican !

radical Occitània

Et alors en chanson, le contre-feu est là :

La Tròba Kung Fú

L’Estivada : bien vue

Éric Solignac L'Estivada

Et pour écouter le "capmèstre de L’Estivada” sur CFM.

L’Estivada fut un grand succès … le “grand public” l’a couronné de succès.

20110726

Occitan dins La Dépêche du Midi

Es important de promòure l'occitan, felicitacions, e alara serai sempre del costat de La Dépêche quora l'occitan serà aital valorizat.

Image

La Dépêche deviendra ainsi un outil pédagogique pour l'ensemble des citoyens et des citoyennes.

Alors nous pourrons avoir des assiettes calottes pour pouvoir faire chabròt dans les restaurants ; J'essaye vainement depuis trois ans d'avoir ce genre d'instrument pour pouvoir faire chabròt, ça semble plus difficile que d'avoir un berret d'Auloron. J'aimerai aussi que les vendeurs de berret sachent que la seule fabrication de berret béarnais, donc gascon, se trouve encore en Occitània et que cette fabrication ne sera sauvée que si nous nous prenons en charge, et n'attendons pas seulement des commandes des casques bleus pour ce genre de couvert si sympathique pour notre identité.

Merci à André Lagarde et La Dépêche de nous montrer le chemin, ce qu'il reste à faire pour récupérer, la lenga e lo biais de viure en Occitània.

Puis un jour, il faudra aussi remercier La Dépêche d'avoir certaines premières pages en occitan, pour montrer le chemin. Il ne nous faut pas un '14 juillet', pour que notre identité occitane revienne, il suffira de notre langue, dins los menús dels restaurants o sobre las portadas de La Despascha del Miègjorn...

20110723

La vache qui change de pré

Regardez et vous comprendrez pourquoi il faut penser à l’utopie de la vache qui change de pré.

vacas cámbian de prat

Vous comprendrez alors que cela vaut bien plus que les défilés de 14 juillet…

Vous comprendrez grandement tout ce que l’on perd avec la technocratie républicaine, c’est la valeur un pré usé que l’on a envie de quitter ; alors un groupe de quelques vaches sautent des clôtures, recherche l’assurance du bon trajet, puis prennent le chemin, souvent peu connu, et le groupe pense au meilleur, à l’avenir, à ce pré vert avec de l’herbe nouvelle.

La pensée agreste est souvent aussi meilleur que la pensée parisienne.

Quand je pense à Occitània, je me vois bien sûr ce chemin vers une solution, et la tête du troupeau pour suivre, ambe d’amics e de las amigas, et j’ai envie de cheminer vers ce pré vert.

marianne 001

20110721

De l’ignorance des citoyens aux privilèges républicains d’aujourd’hui.

Les citoyens français sont très forts pour critiquer les gens qui veulent se prendre en charge, pourquoi ? Parce que leurs ignorances fabriquent leur système de soumission et les privilèges républicains.

Sur Télérama cette semaine, on peut lire une réaction de lecteur ; il faut alors aussi se questionner sur la faculté du journalisme de publier ce genre de lettre sans se poser certaines questions:

telerama e l'ignorança

Le nouvel État du Soudan est un État riche de ses ressources, et de son travail ; pourquoi alors il fut si mal géré par le centre administratif d’un État post-colonial ? La question, ce citoyen français de Saint-Gratien, ne se la pose pas ; il est tellement persuadé que l’État gère magnifiquement tous les besoins des citoyens, et l’administration de l’État… Il est tellement persuadé que l’État soudanais est une merveille, puisque tous les États sont pensés ainsi dans son esprit. Il est aussi persuadé que tout système extérieur est là pour détruire son saint État centralisé.

Donc, ce même citoyen, par ignorance républicaine et centraliste (entretenue), pensera à la sainteté de l’État, comme les sujets du Roi des Francs pensaient que le Roi était supposé être un saint pour ses sujets.

La mentalité du citoyen Télérama n’aurait pas changé avant ou après la révolution de 1789/1791/1792 … Pourquoi ? Parce que la manipulation des informations est telle qu’elle forme le socle d’ignorance sur laquelle la démocratie a guère de chance de se développer, et le bonapartisme (la confiance à un chef, un chef providentiel) reste la seule façon d’envisager tout changement.

Et pourtant ce n’est pas l’information qui lui manque pour le réveiller : Mediapart propose un blog plutôt très illustratif. Ce blog a même eu l’assentiment positif de la député socialiste Catherine Lemorton de Toulouse dans une réponse qu’elle adressa à plusieurs citoyens toulousains.

Mais, il faudra aussi un livre qui demandera un temps estival pour être lu, et demeurer cool si possible (à ne pas donner à l’extrême gauche, ni à ce corps électoral poujadiste tellement critiqué par l’établissement médiatique), et surtout pour prendre le temps afin de mieux comprendre pourquoi la caste républicaine est la même que la caste royale, celle qui fut décapitée un certain 4 d’août …

privilègis de la republica

Ce petit livre qui ne coûte que 8 € : il vous indiquera de quelle manière l’État central, qu’il soit républicain ou royal, trompe tous les citoyens ou les sujets, tous les peuples de fRANCE. Et ce n’est pas une question idéologique, mais plutôt une question de gros sous… et de gestion de la manne centralisatrice.

Je vous conseille surtout le chapitre sur la Culture, n°4 ; il explique clairement pourquoi l’État central n’abandonnera jamais la centralisation de ce budget (et pourquoi le projet socialiste d’augmenter son budget est possible si l’on en enlève certains rapaces institutionnalisés, chose que je doute avec les façons de gouverner socialistes), n’abandonnera jamais malgré que cela ne soit pas une préoccupation régalienne… ni même un élément majeur de sa volonté politique.

Il explique aussi pourquoi, au vue du système installé, il n’est pas question de réformer ce ministère, et de plus lui faire prendre la moindre initiative que déferait la caste patrimonialiste qui encaisse son budget, notre argent collectif, maigre certes, mais budget pour une caste de privilégiés. Il s’agit bien d’une caste de fonctionnaires qui sont aussi acteurs du système privé, et dont emploie tout leur savoir faire pour encaisser grandement l’argent public de plusieurs manières (avec l’accord politique bien entendu), même aussi la moins claire qui soit, et qui fut légalisée, par tous les régimes en place ; les mafias européennes devraient copier…

C’est écoeurant, il n’y a pas d’autre mot.

Nos petites mesquineries du type, langue officielle, télévision pour l’occitan, panneaux ou plaques dans la langue patrimoine, professeurs d’occitan bien formés et en nombre, professeurs d’histoire et géographie occitanes, transports collectifs en occitan, TER et métro/tram efficaces, cours d’occitan pour adultes, programmes régionaux de télévision qui ne soient pas la copie des parisiens, etc. ne sont à côté rien d’important pour la république, malgré tout ce que nos élus essayent de nous expliquer depuis plusieurs années. Ces même élus républicains se font grandement avoir par l’État central (devis de l’institution d’État par exemple), et semblent en être contents, ici ou à Paris.

Ce livre est à lire absolument.

Je comprends pourquoi le Soudan du Sud a demandé son indépendance. Je comprends pourquoi l’ignorance française fabrique un conservatisme sanctifié et maintenant républicain.

salaris dels nauts-foncioanris federals gelats

Geler les salaires et avantages des hauts-fonctionnaires n’est peut-être pas suffisant. C’est un début.

Solidaritat : repression al Ghanà

repression ghanà

Libertat per Brendan Lillis

France Culture donne la parole au pro-corrida à Montpellier

Pour la rédaction afin que d’autres citoyens participent à quelques considérations sur la Corrída.

1 / donner la parole aux anti-corridas et ne pas faire parler ceux qui prétendent les mettre dans les musées. C’est qu’en même assez extra-ordinaire de laisser parler un pro-corrida de ceux que sont les anti-corridas.

2 / la corrida n'est pas la course (gasconne, catalane, ou camarguaise), se prétendre de la course pour imposer la corrida n'est pas autre chose qu'un avis commercial d'un vendeur de boeufs (confirmer par “un toro mort dans l’arène fait vivre 100 toros dans les pâturages tranquilles” Las chifras son de verificar) pour agrandir son marché ; quel vendeur n’en voudrait pas.

3 / quand on ne connait rien de la situation catalane (sociale, politique ou du marché
catalan, médiatique), on se tait ; partir en sorties en Catalogne ne garantis pas que l’on connaisse les Catalans (qui serait une unité) et leur avis national (qui serait une unité aussi), ni même leur système politique – il y a des milliers de citoyens français qui vont acheter leur tabac à l’Empordà et qui pensent connaître les Catalans…. Je connais certains toulousains qui y vont pécher régulièrement et qui n’ont même pas vu que les “rios” avaient disparu des panneaux… en Catalogne (Principat).

4 / confondre Hispania e Espagne, c’est bien une sémantique franquiste, mais pas seulement ; cette confusion n'existe que depuis que les troupes de Bonaparte, devenu Napoléon Ier, importât les Bourbons et le concept jusqu'à vouloir envahir le Portugal (il n'a pas réussit). Les troupes portugaises et espagnoles accompagnées des anglaises ont gagné la bataille à Toulouse (18 avril 1815), menée un jour après que Napoléon ait abdiqué ; ceci ne fait pas rire à Toulouse !

5 / je ne mange pas de la viande à haute dose, pour ceux qui prétendent toujours prendre la parole en nom des anti-corridas... mais je ne vais pas au spectacle quand je vais au restaurant ; je sais aussi tuer des poulets, des lapins, des pintades, des cochons, des dindes, des oies, etc., je sais les tuer de mes propres mains, mais ce n’est pas un spectacle.

6 / je ne suis pas non plus pour l’interdire, mais simplement arrêter de donner des subventions afin d’aider ce projet “culturel”. France Télévision l’aide en proposant un programme qu’elle n’est pas capable de développer pour la langue occitane (alors ils peuvent parler de culture parisienne en région, ça oui, c’est la décentralisation de certains fantasmes culturels sur le midi). France Télévision est pour les primes à la corrida, confirmé par le programme… Bildu a pris la décision en Euskadi, ne plus donner des subventions pour la corrída ; immédiatement, le système commercial qui gère, a indiqué qu’il ne serait plus possible d’organiser ce “spectacle” dans la ville de Donosti ; ceci n’est peut-être qu’une pression politique... Mais les militants anti-corrida doivent faire pire, s'i l’on en croit les interlocuteurs invités per France Culture ! Il y a un lobby service d’État parisien pour promouvoir une culture de l’avoir, il passe par Radio France et France Télévision : Il n’y a pas de demi-position éditoriale à ce sujet.

7 / je lutte pour la violence automobiliste aussi. Je ne veut mettre en jeu ma vie quand le prend la route avec mon vélo. La beuverie tue aussi sur les route… La corrida y participe.

8 / la corrida est un business qui vit sur la torture en lieu de spectacle. Tuer n’est pas un spectacle.

9 / les pro-corridas ne seraient pas des militants, ils n’auraient pas d’argumentaires, ils ne seraient pas prosélytes mais leurs actions souterraines prouvent le contraire en association avec les multinationales de la beuverie, mais aussi des deux groupes de presses régionales, à cette promotion… il n’y a qu’à voir leur méthode pour faire la promotion en région «à reconquérir», lire simplement Toulouse mag, ou La Dépêche du Midi ou Midi Libre, L’indépendant, La Marseillaise, Sud-Ouest est plus équilibré dans son traitement. Tous les militants anti-corrida ont aussi une autre vie ailleurs ! Les pro-corridas seraient des anges venus d’Auvergne, ils ont simplement un nombril à la place des yeux.

C’est bien la première fois que j’étais d’accord avec Gérard Slama.

Le programme est achevé, il était réellement un gros problème éditorial.

valda publicitat

20110719

Radical : les lunettes d’Eva Joly font école…

Lunetas de Eva Joy fa escòla dins los reng de Borloo

Si le ridicule tuait, le camp de Borloo, le dit Parti Radical, serait mort !

Mais enfin on trouvera des actes plus douteux pour détruire une politique de Borloo aurait à promouvoir pour sa présidentielle…

Nous réservons aussi notre voix, en canalisant notre rire …

la revue du PSf

De l’aiga, de l’aiga … cambiament climatic

Un dirigeant gascon de la FNSEA explique : «lo degrà de mens es la fauta de los que prenon de pastagà per l'aperitiu, fan un desbalanç d'aiga grèu dins l'ensemble de las canalizacions occitanas.» Tout s'explique clairement, c’était sur France Culture, une soirée à laquelle France Nature Environnement essayait de lui expliquer que les choses n’allaient pas ainsi dans les régions françaises.

Malgré les satisfactions agrestes de la FNSEA, La Croix explique ce qu’il faudra changer :

cambiaments climatics

Vu par les productivistes maïsiculteurs, tout devrait s’arranger avec quelques retenues d’eaux. Le toujours plus ne semble pas avoir régler les problèmes agricoles depuis que l’agriculture européenne a pris les chemins de l’industrialisation, alors pourquoi s’entêter ? La confiance bancaire obtenu avec un projet conservateur n’est pas facile à retirer, ça voudrait dire que les banques se sont trompées depuis plus de vingt années en faisant de cette agriculture la seul à pouvoir capturer de la confiance et donc des prêts. C’est le cercle infernal qui induit une agriculture qui travaille seulement pour faire plaisir au banquier.

Le premier changement pour l’agriculture du futur serait que les banques soient plus capables de vérifier les projets d’affaire des entreprises agricoles ; ceci est valable pour toutes les entreprises, et ceci ne se décrète pas du jour au lendemain, il est tellement plus facile de spéculer que de rechercher des placement entrepreunarial pour lesquels la confiance ne puisse pas s’acheter…

Dans le conservatisme agricole (les agriculteurs innovants ont toujours été ceux qui furent laissés sur le bord des chemins des chambres d’agriculture, malgré toutes les considérations de professionnalisme), il sera alors difficile de relocaliser certaines cultures, et surtout peut-être mieux économiser l’eau. Pourquoi faire du maïs irrigué quand les doses pluviométriques annuelles sont suffisante ? Pourquoi faire du maïs, là ou les doses sont connues comme inexistantes ou guère suffisantes ? etc.

20110718

Du rôle de la police …

Avec l’affaire des écoutes téléphoniques pour le compte de la presse du groupe Murdoch, on peut légitimement se demander : mais que fait la police ?

scandale des écoutes téléphoniques LeDevoir 180711

Le rôle de la police est d’assurer au législateur une application des lois, si elles ne sont que mal ou partiellement appliquées, le législateur aura pour questionnement : mais que fait la police ? Le législateur ne s’interroge que rarement sur l’utilité des lois qu’il vote ; le législateur centraliste encore moins.

Dans l’affaire Murdoch des écoutes téléphoniques on peut se rendre compte que les plus hautes instances policières ont instrumentalisé la presse (avec son accord bien sûr), pour manipuler les opinions ; pourquoi la police a besoin de manipuler l’opinion ?

Il semble que la police ait un grand besoin de façonner la vie d’un peuple à l’image qu’elle se fait de lui. Elle s’engage alors dans des actions qui n’ont rien à voir avec son rôle premier, l’application de la loi dans la société citoyenne.

Mais il ne faut pas croire que cette façon d’intervenir dans la société soit seulement de Scotland Yard, en Occitània, nous avons la police française et la préfectorale qui agissent en commun pour donner une image du pays occitan afin qu’il soit celui que le pouvoir centraliste désire. Ainsi, ces pouvoirs administratifs sont faits d’hommes ou de femmes que rien n’empêche de participer à la création de manipulation politique, et de leur médiatisation.

Qui vous indique que les peintres en bâtiment de Montsegur soient un seul jour des Occitanistes ?…

Qui vous indique si les demandes-cris en occitan des retours des soldats français d’Afghanistan sur un mur de Carcassona ne soient pas des écrits de cette population libérée de leur carcan administratif français ?…

Qui vous garantis que les rumeurs arrivées aux oreilles des élus(es) à propos de tel ou tel mouvement politique occitan ne soient pas un tas de présomptions politiques fabriquées de toute pièce par des administratifs qui se disent bien informés ?…

Il ne faut pas ignorer qu’un fonctionnaire, hors service encore plus, n’est autre qu’un être humain de la société citoyenne ou nationale dont il fait parti… Ça l’intéresse aussi de façonner la société dans laquelle il est acteur.

20110715

Eva Joly aura tout mon soutien pour changer le 14 juillet, mais on peut faire mieux !

Après avoir critiquer les symboliques du 14 juillet, l’omniprésence des militaires pour représenter le (un seul) peuple de fRANCE per exemple, Eva Joly voit arriver toute la presse nationaliste française pour lapider la liberté de penser sur les erreurs du national-expansionnisme français et sur son militarisme post-bonapartiste.

Dans la presse de droite, on peut y classer Europe 1, un groupe multimédia militariste, c’est le clair soutien des Sarkozistes ; il trouve alors Eva Joly seule contre tous (tous c’est qui, sinon les nationalistes français!). Le média Europe 1 demeure la voix d’un des fabricants d’objet militaire, production qui permet à «la France d’avoir une balance des exportations positives» …

Eva Joly Manipulacion del nacionalisme francés

On peut comprendre l’inquiétude du nationalisme français, si les productions industrielles militaristes étaient abandonnés… Les bourses des grandes familles industrielles françaises seraient alors très touchées directement à ce qui fait mal, le porte-feuille, et les revenus. Car les grandes familles françaises vivent de l’industrie militaire… Guère ne chose n’ont changé depuis que les mercenaires arrivaient en Languedoc avec Simon de Montfort à la tête pour meurtrir le peuple de langue d’Oc.

Le fait que le 14 juillet soit devenu au fils des années le seul défilé des militaires est assez caractéristique du manque de projet économique positif, projet qui est alors porté par ce national-expansionnisme parisien, depuis plusieurs siècles.

Certains croient cependant encore que la France ne serait plus si l’armée était réduite à un simple appareil de représentation diplomatique, ou reclassée dans des utilités civiles pour le bien de tous et de toutes. Mais qui peut m’indiquer si l’armée française ait déjà gagné une seule bataille toute seule sans l’aide d’armées amis, depuis Sedan, c’est à dire le XIXième siècle ?!?!

Certains ont aussi la mémoire courte sur le thème révolutionnaire, notamment les nationalistes du parti socialiste ou du parti radical, il y a eu deux 14 juillet pendant la Révolution française : – 1791, la “fête de la Fédération”, et les “Droits de l‘Homme était traduit en 7 langues ; le chemin a été arrêté net par des extrémistes qui créèrent le concept de “nation” en exception française, ils se nommaient Ernest Renan et Maurice Barrès, ils ont été ressorti des placard lors du fameux débat sur «l’identité nationale” sans que mon point de vue puisse être une seule fois communiqué ; c’était le début de la confusion entre la nationalité et la citoyenneté, entre l’anthropologie et le juridique. – 1792, la “fête de la Nation” remplaçait la fédération et la diversité des régions de France était alors un frein au “progrès”, on décapitât en masse (Olympe de Gouge par exemple), nous a-t-on expliqué … Quelques années plus tard, on a bien vu à quoi cela menait, Directoire (dictateurs en groupe), Napoléon et son militarisme qui devint une guerre permanente avec l’Europe, puis les antidémocrates bonapartistes, anti-républicain avec les Bonaparte au pouvoir (ils avaient vomis sur la République de Paoli, il n’allait pas la refaire en fRANCE), mais aussi l’État français modèle Pétain, ou le nationalisme français qui signât la guerre d’Algérie au ministère de l’intérieur (François Mitterrand).

Même l’arrivée de la République, II, III, III ou IV, aucun acte politique n’a résolu le problème de la symbolique volée du 14 juillet de 1791.

C’est tellement facile de vouloir gouverner avec une armée aux ordres…Le tout sécuritaire est tellement facile à mettre en fonctionnement pour faire illusion (qui ne l’a pas remarqué avec la politique de Nicolas Sarkozy depuis plus de 4 années). Et alors il faut lui faire plaisir à peu de frais. Mais, l’armée de la République se fait tuer en Afghanistan et on n’a pas encore compris réellement à quoi ça pouvait servir pour la démocratie en Asie !

On n’a pas encore compris pourquoi le nationalisme français était si à cheval sur des sujets avec si peu d’intérêt collectif que la symbolique du 14 juillet ! ou plutôt, es-ce si facile de garder ces sujets militariste en fonctionnement pour mentir aux peuples de fRANCE ?…

militarisme extérior francés

Il ferait mieux de s’occuper des moyens de productions et de la créativité des peuples de fRANCE, afin d’affronter le marché mondial.

Le nationalisme d’expansion parisienne préfère toujours trouver des ennemis à l’intérieur ou à l’extérieur, plutôt qu’à se remettre en question sur les erreurs de son histoire, erreurs que les peuples de fRANCE ont systématiquement payé de leur vie, pour “glorieusement” remplir des listes des monuments aux morts inaugurées par les préfectorales et l’armée, sans honte.

Comment faire mieux pour la symbolique du 14 juillet  ? Il faudrait simplement éviter que ce jour soit férié et un affront aux idées de paix que l’Union Européenne veut bâtir. Donc, pour faire mieux sur le 14 juillet, il suffirait de supprimer ce jour férié, travailler plus pour gagner plus …

Il faudrait alors clairement remplacer le 14 juillet par le 9 mai ou le 8 mai, par exemple. Toute l’Europe, tous les peuples d’Europe aurait à y gagner et l’armée devrait se concentrer sur ses inefficacités plutôt que sur l’”art” des défilés.

Car en 1939, elle n’était pas glorieuse notre armée, elle n’a jamais aider les peuples de fRANCE, elle a accompagné les soldat vers la servitude national-expansionniste allemande, rien de plus.

Car en 1947, elle n’était pas glorieuse l’armée qui débutait la guerre du Vietnam, puis celle d’Algérie, etc.

On pourrait faire la liste des erreurs militaires françaises, celle de ces écoles militaristes qui serait à supprimer pour faire de réelles économies budgétaires au niveau de l’État centraliste.

J’avoue que je pense a Genciòus (Lemosin) actuellement, le seul monument au mort de la fRANCE qui ne fut jamais inauguré et qui est maintenant un monument dédié à la paix en Europe, une exception qui pourrait se généraliser.

Eva Joly n’a pas fait un faux pas, elle n’est pas nationaliste français, c’est un grand bon point pour sa candidature, c’est une exception dans le personnel politique actuel en fRANCE.

Eva publicat en setembre 2010 comentat militarisme

Caldrà causir entre la mòrt, lo morbid republican, e la vida, lo complèxe et l’avenidor …

E se caldrà desencusar de parlar occitan, en public per poder parlar o escriure, e de rire al meteis temps del Parti Socialiste francés ?

la revue du PSf 

Avèm la “revue de musique-hall” e la “revue militaire du 14 juillet”, totas las doás an abandonat l’occitan.

Jordi Pujol will say “what Catalans want”

What Catalans Want

Dear friend,
On Thursday 21 July we will be presenting, in Barcelona, the book “What Catalans Want. Could Catalonia become Europe’s next state?”. We hope it will help promote awareness regarding the internationalization of our country abroad.
The book "What Catalan Want", has been created by Toni Strubell Trueta (text), Lluís Brunet (photography) and Liz Castro (editing) and is the result of two years of work in which 35 Catalans and non-Catalans residing in Catalonia were interviewed. Two ex-presidents, leading economists, sportsmen, cultural leaders and anti-Franco activists are amongst interviewees. The prologue is by the great Irish writer Colm Toíbín.
The book aims to present the Catalan national reality at a time when the autonomous Catalonia has entered a severe crisis andthe claim in favor of an independent Catalonia is shared by an increasing proportion of the population. According to the latestopinion survey, more than 42% of the Catalan population would vote in favor of the Independence of the Catalan nation.
We appreciate that from your position you subscribe to our cry for freedom. We would like you to speak of our book in your publications and include a link to our website where you can view the content of our work: http://www.whatcatalanswant.cat/
The book is available over the internet and can  also be purchased in digital format.
We very much hope for your positive initiative on this front.

Receive a warm greeting.
Toni Strubell, and Louis Brunet Liz Castro
http://www.whatcatalanswant.cat/

Very best wishes

Oriol Falguera, Campaign Director

-°-

segon lo PP Franco es pas dictador

«lo PP es un modèl per l’UMP» Alain Juppé a la creacion de l’UMP.

«PP is a model for UMP» say Alain Juppé at the UMP’s beginnings.

«Le PP est un modèle pour l’UMP» Alain Juppé au début de l’UMP.

20110714

Le Député Morel-L’Héritier est content :

Le gouvernement UMP-NC s’occupe du monde rural, il autorise les pesticides et favorise la santé économique de certains (un peu toujours les même cependant).

Pesticides UMP

Le gouvernement Grenelle 2 de l’UMP-NC s'occupe de 202.000 hectares et leurs environnements, c’est déjà ça. j’imagine que le département de notre fameuuuuu député leur en sera redevable…

La ministre de l’environnement de ce fameuuuuu gouvernement n’est pas encore passé à iTele o BFMtv pour expliquer qu’elle attend le «retour d’expérience» de l’INRA ou du CNRS, mais peut-être qu’ils l’ont déjà…

Benis soit ce pesticide gouvernement !

20110713

Il faut savoir lire la presse capitaliste et de droite

Les Échos

Dans la page “Entreprises et Marché” vous avez tout plein d’explications :

- 100% de Métro pour TF1, la première entreprise de désinformation d’Europe, la première télévision privée d’Europe, achève un journal qui ne vaut rien. Pourquoi ? Bouygues est le premier ami de Nicolas Sarkozy, il a dû lui offrir ces service en conseil de défiscalisation ? Bouygues va aider Nicolas Sarkozy dans sa campagne de 2012, il a besoin d’un journal papier en plus du Parisien, de France Soir, de Le figaro, de Les Échos, de l’Express, de Le Point. Un journal qui soit distribué en ville, là ou TF1 a quelques problèmes d’auditoire… pour travailler plus, ils y travaillent plus (en gagnant moins), mais ils ne rentrent pas au journal de 20 h… Donc l’achat de Métro est indispensable. Alors, on vérifiera ma théorie, après les élections ; à ce moment, Métro ne sera plus utile si Sarkozy n’est pas élu, et même s’il est élu à nouveau.

- AREVA e les indemnités de licenciement ou départ, on dit départ dans ce milieu bien fraternel. Quand il s’agit des indemnités de licenciement, il s’agit d’une assurance que l’on paie au fur et à mesure par cotisation, les patrons qui se donnent des indemnités de départ parlent de charge, et elles n’en sont pas. Mais les metteurs sont déjà tous désignés quand l’on écrit ceci. Pour Anne Lauvergeon, la caste au pouvoir, c’est bien une charge supplémentaire pour l’entreprise ; elle a fait du mauvais bouleau mais elle est virée qu’en même, et les patrons, les actionnaires, lui octroie une indemnité de départ, généreux avec une copine. Qui va payer, sinon quand on va voir arriver notre note d’électricité nucléaire, dons françAIse ?

- le “Tout politique” est critiqué dans un éditorial qui est installé sur la marché, marché du journal de droite et des professions libérales ; il s’agit de critiquer les politiques, pour valoriser la notion de marché qui serait le meilleur moyen pour gérer les problèmes en général. C’est les banksters qui doivent contents de lire ce discours, car pour les citoyens, pour le moment, ils paient grâcement l’incompétence des élus qu’ils placent au pouvoir central. Sans honte, le journal Les Échos aime bien nous expliquer qu’il préfère que les citoyens se fassent enculer en toute joie démocratique et république (je suis vulgaire car ils sont vulgaires), et peut-être même qu’il y aurait moins de politique et plus de dictature, ça irait mieux…

Merci Les Échos.

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On reconnait un journal de droite au fait qu’il est aussi distribué gratuitement dans certains lieux, Le Figaro dans les Hôtels de luxe ou dans les aéroports par Air fRANCE par exemples, ou les Hôtels de groupes financiers. Hier Toulouse mag était distribué aux commerçants de Tolosa gratuitement. Toulouse mag est un petit élément du navire amiral de jean-Michel Baylet, La Dépêche dite du Midi.

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On reconnait les journaux engagés par le fait qu’il sache se recycler, en une distribution gracieuse toulousaine, ou recycler les indemnisées (lors d’un départ volontaire) comme Anne Lauvergeon, je veux parler de Libération. Anne Lauvergeon est annoncée dans le directoire de Libération; ça devrait améliorer sa ligne de journal du nationalisme français de gauche, ça lui manquait. Anne Lauvergeon était la fière représentante du lobby du nucléaire dans la techno-structure des “grands” cadres du nationalisme français, elle devrait grandement améliorer la ligne éditoriale de Libération. On ne peut pas dire que là aussi, Nicolas Sarkozy ne prépare pas les élections de 2012…

Je sens que ça va chauffer pour l’information alternative cet automne… Il va falloir faire chauffer les rédactions des blogs.

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Picatz sul document per aver lo ligam:Ràdio País

Souvenirs : de quel tourisme voulons-nous ?

Es que le touriste ß doit toujours repartir de France avec une tour Eiffel ? De Barcelona avec une sévillane ? D’Edimburg avec Big Ben ? …

La question se pose, mais guère en Occitanie.

Torisme made in china

Rare ne sont pas les boutiques de “souvenirs” (remarcatz qu’aiçò es donat tanben en lenga catalana per parlar de las causas toristicas) de Tolosa qui propose des “souvernirs” de París… Il semble que le produit “connaissance du pays proche” ne soit pas disponible aux rayons marchant du temple, ni à Tolosa, ni à Lorda.

La Generalitat de Catalunya semble avoir pris conscience du problème. Faut-il vendre le même produit touristique partout, pour agréer à une vision marketing du tourisme ? Aseptiser les objets touristiques n’est-il pas déjà perdre l’attrait du voyage extérieur, en un pays inconnu, jusqu’à quand le pays inconnu, à visiter donc, ne le sera plus pour vouloir ressembler aux autres ?

Nos élus locaux en Occitània ne semblent pas s’être questionné sur le thème, et laisse aller le marché. La Generalitat de Catalunya assaja de far cambiar las causas de faiçon productiva, e intelligenta en practicar l’informacion al prèp dels comèrçes, en ajudar la produccion de “souvenirs catalans”.

C’est sûr que quand Occitània estivale, festive, ressemble à ça … on ne peut qu’être en difficultés sur le thème !

Département 40 Flamenco

Que cal pas mesclar ambe l’umor de la Ciutat…

banhadoira

20110712

Fétichisme et nationalisme républicain français

Regardez cet article, il n’y a rien qui vous dérange ?

Fetichisme republican

Selon le rédacteur de La Croix, Simon Carbaud : « La bannière aurait servi lors de la Fête de la fédération en 1790, désormais célébrée tous les 14 juillet»

Ai-je raté quelque-chose ?

1791, «Fête nationale» non ? Et nous supportons la sémantique expansionniste parisienne depuis cette date, et cette décision de changer la sémantique. La tromperie politique dure depuis cette date et ce changement de sémantique, qui ne sont pas quelques mots que «désormais (l’on) célèbre tous les 14 juillet», en compagnie de musiques militaires et des cortèges de militaires financés par la République Française.

Et il y a bien une différence entre cette fédération qui n’a jamais été l’État centraliste français et la nation de 1791, qui se définit avec orgueil comme une imposition d’un national-expansionnisme français de couleur linguistique uniformisatrice, un bien-fait pour «le peuple», alors qu’il s’agit simplement d’une destruction de la diversité humaine imposée par la République, un directoire qui n’a jamais fini d’être un impérialisme.

Cette erreur d’un journaliste de La Croix trouve la source chez le maire qui confond légèrement les deux dates (1790/1791), une chose classique en fRANCE ? De l’ignorance dans les écoles de journalisme ?

C’est vrai que je n’avais jamais fait la différence, mais j’ai lu Cornelius Castoriadis, et tout à coup j’ai bien vu l’intérêt de différencier les deux moments, pour mieux comprendre comment les peuples de fRANCE se sont fait avoir.

J’attends avec intérêt le livre de Jean-Christophe Goddard, sur la nation allemande et Fichte pour mieux comprendre pourquoi ils ne se sont pas fait avoir… par ces beaux parleurs Français.

Je ne fête plus le 14 juillet, j’ai étudié la chose politiquement et historiquement ; ceci ne vient pas naturellement, car les outil d’intoxication national-expansionniste sont installé dans tous les instituts de formation et d’éducation républicaine, engagée clairement dans ce nationalisme; Je ne fête plus ce jour parce que c’est la «Fête Nationale», et  que la nation qu’elle est sensée remémorée la gloire, ne mérite en aucune manière cette glorification, et en plus ce n’est pas la mienne.

Le fétichisme républicain ne m’intéresse pas, et les défilés militaristes encore moins. Malheureusement, ce jour, je suis obligé de sortir du territoire républicain français pour ne plus supporter les brouhahas nationalistes républicains français ; c’est un jour de tristesse pour les peuples de fRANCE qui furent trompés par la république, et leurs fétichismes, leurs monuments militaristes, leurs programmes télévisuels et radiophoniques, mais aussi la presse provincialiste que nous supportons en Occitanie.

lunetas comentadas

Soi informat d’una iniciativa antinacional-expansionista francés (parisenc) a Marselha, se deuriá generalizar pertot en Occitània.

14 juillet Marselha

Autre moment de protestation contre le national-expansionnisme français, a Nissa.

e a Nissa l'an pas oblidat

E del costat d’un pòble sotmetut que sèm solidaris, mas un pòble despertat podèm listar Corsega …

Imatge d’actualitat per una commemoracion recenta :

republica de Paoli

C'était le 14 juillet 1755, Pasquale Paoli était élu Général de la Nation corse au suffrage universel…

Tolosa, l’UMP et le bien public

Le PSf et l’UMP ont des militants qui sont très alertes, et en alerte, surtout pour maquiller le bien public des municipalités qui ne sont pas de leurs couleurs, de leur majorité élective…

Ainsi, à Saint Aubin, Tolosa, on pouvait en voir la preuve pour l’UMP :

panèu municipal

Il faudra rappeler aux militants que le parti est fait pour développer des projets collectifs, peut-être inventifs, de les proposer aux citoyens, et c’est aux citoyens de choisir si tel ou tel autre candidat est susceptible de gérer le bien commun, les biens des communes et leurs administrations, des cantons et départements avec son administration décentralisée, des régions et son administration décentralisée, de l’État et son administration jacobine, plus les éléments régaliens liés à la politique extérieure. Les candidats deviennent alors les gérants du bien commun, le bien public n’est pas la propriété des élus (ni pour en profiter, ni pour les personnaliser), et de ce fait les prendre pour ennemi, c’est afficher l’inimitié non pas aux candidats qui furent choisis, mais au bien public, del pòble de Tolosa, au bien de tous les citoyens.

Alors on se pourrait demander d’ou vient ce genre d’attitudes ? Serait-ce un type de formation interne aux partis ? Serait-ce un problème dans le choix des élus gagnants ? Serait-ce un problème de civilité et de formation dans l’école républicaine ?

Deux éléments pour votre réflexion citoyenne :

Guérini

Voilà pour l’équilibre (il parait qu’il est socialiste celui-là), quand les exemples viennent d’en haut, on ne peut rien obtenir des militants d’en bas… des afficheurs.

Image (2)

Élus les candidats ne doivent pas considérer le bien public comme une assistance publique à le CV, et leur porte-feuille… Et les militants dont le candidat est battu, devraient prendre conscience que l’électeur a raison, malgré toutes ses raisons politiques pour voter pour l’autre candidat. Il serait alors justifié de critiquer les mauvaises gestions du bien public et de ne pas le détériorer.

Une affiche oui, mais pour expliquer pourquoi l’investissement ne vous semble pas correct pour le développement du bien public.

20110711

Bientôt leur fête du national-expansionnisme français, alors voilà

Il me semble urgent de faire savoir que la France est une république colonialiste et violente, manipulée de tout bord politique pour obtenir la soumission des peuples, et qu’elle ne tient pas plus sa parole politique que les rois des Francs avant 1789, c’est ontologique.

Pour eux, le journal La Croix, c’est la petite histoire… Cette tête sera moins respectée que celles des Maorís de Nouvelle-Zélande ?

colonialisme en Kanaki

Certains pensent encore en France que l’expansionnisme parisien se passe toujours en douceur, c’est parce qu’ils furent intoxiqué par les écrits des “historiens” aux ordres du régime républicain.

Les violence ont débutés avec l’invasion du Languedoc, ils y trouvèrent des ressources pour financer des mercenaires (ils y trouvent toujours des ressources…), puis ils trouvèrent des gogos pour faire leurs guerres à leur place, et protéger leurs frontières dites naturelles. Mais claque fois, c’était sur l’échine des peuples vaincus, il n’y a pas de mystère politique, il y a juste des omissions historiques et nationalistes pour faire avaler les pilules aux peuples soumis.

Malheureusement Kanaki ne fut pas la seule à devoir supporter l’impérialisme français : – après 1918, ce fut la république sociale de Lotharingie, – après 1945, ce fut la poursuite de la guerre contre les peuples d’Algérie, –après 1947, la guerre d’Indochine et puis aussi Madagascar ; ceci pour ne parler que des plus récentes et pour ne pas tourner le couteaux sur les massacres perpétués en Occitanie.

À Nissa/Nice, les patriotes poseront le drapeau de Nissa, avant l’arrivée des Français, 1860, ce jour-là.

À Tolosa/Toulouse, on pourrait aller chanter La Toulousaine devant le capitole, en mémoire des morts occitans tués pour le national-expansionnisme français ou parisien ?

Yvan Colonna comptatge 110711

20110710

Signalétique occitane digne

signaletica aranesa

Je ne suis toujours demandé pourquoi nos élus (Occitània granda), avant de nous «représenter» n’iraient pas faire une petite visite obligatoire en Val d’Aran ?

Pouvez-vous me dire pourquoi cela ne leur ferait pas du bien ?

Il y verrait une signalétique occitane digne et qui n’est pas sur le modèle français, mais bien dans le respect des langues et des niveaux politiques de chacune, niveau que l’on peut mesurer grandement avec cette signalétique.

De plus, cette signalétique ne fait pas fuir les tourismes, c’est donc bien une signalétique adapté à la mondialisation touristique, et qui écrit dans la langue du Pays, Occitània.

Il faudra aller au delà des cartes Internet, pour une élite, et développer une visibilité routière, comme en Bretagne, autre exemple à visiter.

dordogne

Las leis europèas seràn tanben contra las lengas sense Estat ?

etiquetat

L’union Européenne ressemble de plus en plus à l’impérialisme linguistique français ; en façade, ils sont pour le patrimoine, pour retrouver le patrimoine, le collectionner, le présenter en trophées dans les musées pour les touristes immatriculé L, mais dans la réalité du terrain ils sont un instrument contre les peuples…

Pour le catalan, il ne demeure plus que l’arrivée d’Andorra pour devenir officiel au niveau européen, c’est ainsi que l’on peut mesurer la qualité de citoyenneté qu’est l’Union Européenne.

Quelle Europe, quelle union, quelles institutions, quels pouvoirs pours tous les peuples ? La question ne trouve pas de réponse dans les institutions pro-état de Brussels.

Occitanie : un territoire lié à un mot inventé par les Occitanistes, qu’ils disent toujours … Ah bon ?

Occitania : quelle généalogie ?

L’espace occitan est au carrefour de deux mers et de deux continents

caras tolzanas rojas

L’Occitanie, un millénaire d’existence sous diverses appellations : Aquitaine, Provence, la langue d’Oc ou Occitania, Gascogne, Midi, Occitanie…

Appellations successives de l’Occitanie, espace géographique et linguistique :

  • Aquitaine jusqu’au XIe s = Provence, Languedoc, Gascogne, Dauphiné, ancienne Aquitaine romaine

  • Provence ou Provincia du XIe au XIIIe s : ensemble des pays de langue d’Oc (appelée aussi langue provençale) au sud de la Loire

  • Occitania : créé en latin par l’administration capétienne ; rassemble tous les pays de la Langue d’Oc ; mais après l’annexion de tous ces pays par la France le terme Occitania sera réservé à la seule province du Languedoc.

  • Gascon – Gascogne : Après l’édit de Villers-Cotterets, […] « on appelle du nom général de Gascogne et de Gascons, les pays et les peuples situés à la gauche de la Loire où on parle encore l’ancien provençal » (Dom Vaissette)

Ancienneté du terme Occitanie ou Occitania : quelques dates.

1246 : « Des marchands de Montpellier et de la Langue d’Oc (= terme générique désignant les territoires de langue occitane) participent aux foires de Champagne et de Brie »

« Le pays de Languedoc comprenait alors tous les peuples qui parloient la langue provençale, c’est-à-dire les provinces méridionales du royaume » (Dom Vaissette)

còrs d'Occitània dei Alps als Pirinèus

1291 : « Joanne Christiani, capitanéo Montipessali et mercatorum Provincialum de lingua que vulgariter appelatur lingua d’Oc »

29 mai 1308 : consistoire de Poitiers d’où il ressort que le roi de France règne sur deux nations différentes : la lingua gallica et la lingua occitana.

1318 : « La Langue d’Oc ne peut se gouverner par la monnaie de Paris » (Dom Vaissette)

1381 : Le roi Charles VI considère que son royaume comprend deux parties : les pays de langue d’Oc ou Occitanie et les pays de langue d’oil (oui) ou Ouytanie !…(… quas in nostro Regno occupare solebat tam in linguae Occitanae quam Ouytanae…)

Appellation des Etats de Languedoc :

Avril 1357 : « Republica lingue Occitana »

1439 : « Status linguae Occitanae » ou « Statibus patrie Lingue Auxitane »

La nationalité occitane n’a pas accédé au rang d’Etat souverain, mais du XIe au XXe siècles, les Occitans ont maintes fois réagi pour maintenir ou recouvrer leur indépendance menacée ou perdue.

On oppose souvent les termes « Midi » et « Occitanie » :

« Il y a une légende sur le Midi » disait Jaurès en 1907. La République « une et indivisible » ne pouvait tolérer l’existence de Français de langues et de cultures différentes…

Or l’Occitanie se définit par sa langue et sa culture : c’est l’ensemble des habitants qui parlent l’un des dialectes de la langue d’Oc.

Extrait de l’« Histoire Générale de Languedoc » par Dom Devic et Dom Vaissette –

Tome 6 – P. 935 et suivantes (rééditée en 2004)

Les auteurs, qui écrivent cette histoire monumentale au 17e siècle, expliquent qu’aux 12e et 13e siècles, on appelait l’ensemble des pays du sud de la Loire du nom générique de Provence et que ces peuples parlaient tous la langue provençale même jusqu’à Valence en Espagne (Provence ou Province = ancienne Provincia romana, terme devenu péjoratif après les conquêtes capétiennes et signifiant depuis lors « province de Paris », c’est-à-dire pays vaincu ! C’est ce qu’on entend quotidiennement dans les medias : Paris…et la province) …Et ils ajoutent que par la suite ces mêmes pays furent appelés La Langue d’Oc (c’est-à-dire l’Occitanie), comme on peut le voir dans les exemples cités ci-dessus : lingua d’Oc ; lingua occitana = nation occitane ; opposée à lingua gallica = nation « française »

« Les trois sénéchaussées dont on vient de parler au chapitre ci-dessus, après que celle de Toulouse eut été réunie à la couronne, en 1271, firent partie de ce qu’on appela depuis La langue d’Oc, qui comprenait les provinces méridionales de France […]

On partageoit donc alors le royaume, comme dans les deux siècles précédents, en deux parties, France & Provence, à cause des deux différents idiomes dont se servoient les peuples qui les habitoient, idiomes si différens l’un de l’autre que les peuples de Provence & de Languedoc regardoient encore, vers la fin du quatorzième siècle, la langue françoise comme un langage qui leur étoit étranger & absolument inconnu. […]

La langue provençale qu’on parloit alors dans la Province est à peu près la même qu’on y parle encore aujourd’hui. On l’appeloit provençale parce qu’elle étoit commune à tous les peuples de la Provence prise en général, c’est-à-dire à près de la moitié du royaume ; on la parloit aussi, au treizième siècle & au commencement du suivant, dans le Roussillon, la Catalogne, l’Aragon & le royaume de Valence […]. »

Georges Labouysse, historien toulousain.

còrs d'Occitània Midi-Occitanie fòrum politic

mapa dels Trobadors en Euròpa

Quatremer aime l’orthographe de la langue impérialiste et républicaine.

Les Français n’ont jamais été capables d’écrire correctement l’occitan, la langue qu’ils peuvent considérer du Grand Sud, s’ils veulent demeurer dans l’impérialisme parisien et républicain… Et alors, ils veulent nous donner des leçons d’orthographe. Regardez comme ils écrivent “qu’es aquò ?” dans leurs dictionnaire, mais ce n’est pas la seule expression d’origine occitane pour laquelle il ne maîtrise pas l’orthographe, ils ne veulent pas la maîtriser. C’est leur manière de soumettre les paysans… La haute écrit comme un pied et en fait un instrument de répression.

Il faut dire aussi que les Français sont ceux aussi qui se firent un grand bien de détruire notre cohérence toponymique occitane avec leur orthographe de merde. Imaginez avant leur orthographie (celle que j’emploie ici) Rouen s’écrivait Rohan, Orléans s’écrivait Orlhenx… Et bien leur orthographie de merde, issue de la normalisation du français, a imposé un Toulouse, Limoges, Cahors, Périgueux,  Bordeaux, Carcassonne, Montpellier, Marseille, Aix, etc. Elle a créé un pays occitan dés-occitanisé, auquel la langue écrite et normée depuis 950/1050 faisait l’honneur des poésies des troubadours, de la médecine, des mathématiques, mais aussi d’une administration d’Aquitaine, a été retiré et massacré, et pour laquelle les Occitans et les Occitanes se sont guère levés pour protester… Et maintenant cette caste qui a détruit l’occitan, veut nous imposer l’anglais dans les mathématiques, la médecine (laboratoires), etc. pour les brevets européens.

Et maintenant avec cette norme française de merde, ils veulent pratiquer plus loin dans l’aliénation anti-latinité.

k'es ako

De plus, on voit par là, l’intérêt de l’orthographe, c’est une sorte de loi (qui n’est pas commune mais celle d’une caste), loi qui permet plusieurs choses :

-éliminer les citoyens pour toute discussion ou proposition, ou commentaire;

-éliminer toute réflexion sur les lois imposées par la caste parisienne sur fRANCE;

-réprimer, comme une justice divine, avec un droit ou pas de leur adresser la parole, à leur seigneurie ou leur sainte hauteté républicaine.

Et bien ce monsieur, je confirme, écrit des conneries depuis Brussels sur les Flamands, sur la N’VA. Il faut le dire hauts et forts. Ce monsieur écrit dans Libération et sur un blog ; il est malheureusement le type même de Français qui donne le signal politique à propos de la récente non-entente entre les communautés française et néerlandaise en Belgique.

Ce monsieur Quatremer est arrogant (pléonasme pour les Français de la haute) et en profite pour désinformer sur cette situation belge actuelle en fRANCE.

Cette caste française européenne gouverne à Brussels, et impose le français en terre néerlandaise, mais l’anglais dans les institutions européenne, et aussi une façon de faire contre les langues et la diversité linguistique en Europe, par exemple l’étiquetage en catalan …

etiquetatge en catalan Si Quatremer aime l’orthographie française comme une déesse des temps anciens, je n’aime pas ce genre de personnage.

Quatremer est ce que je déteste le plus des Français, leur arrogance linguistique.

Quatremer es lo Myard d’esquèrra.

Et pendant que la caste au pouvoir nous occupe avec l’orthographe de la langue impérialiste et républicaine, ils fabriquent ceci à Paris :

casta senatoriala

Sans oublier ceci aussi : Mediapart.fr

Baudis Mignard