C’est le temps des “sangs bleus”, ils pompaient les ressources occitanes, pour la caisse de l’État et leur personne aussi. Ces “sangs bleus” étaient désignés par le Roi, la sainteté désignée par le Pape, contrairement à ce qui était l’habitude, for e costumas, en Occitània.
Il me sembla important de noter, et de faire suivre cette information ; Occitània a toujours supporter des répression au fils des temps, et particulièrement avant la dite Révolution française; cette dite révolution est supposée avoir donner des droits au peuple occitan, qui est supposé, au début le chemin était clair et tracés, avoir accepté le fait révolutionnaire, puis vint Ernest Renan et Maurice Barrès, et le retour les méfaits français en Occitània sont revenus comme avant, et de différentes manières (fiscale, humaine, administrative, linguistique, diplomatique, industrielle, financière, maritime, etc.).
Jacques Servat, conseiller pédagogique d’occitan et professeur d‘histoire à la retraite, avait déjà publié dans les années 1970, un petit livre sur les révoltes en Occitanie avant la dite révolution française. Mais il est évident qu’un travail sérieux et d’historien (détaché des idées provincialistes françaises) est attendu.
Est attendu aussi une histoire générale des régions occitanes nord, Lemosin / Limousin, Auvernhe / Auvergne, Dalfinat / Dauphiné. Ce travail ne peut être l’oeuvre d’un seul homme, il faut un collectif, ce collectif se doit d’être conscient de l’oeuvre à établir et du temps à y passer ; es-ce que les Conseils Régionaux sont capables d’initier ce genre de projet éditorial ? Quelle université installée en Occitanie peut débuter ce travail et en être la clé ouvrière ?
Ces Histoires d’Auvergne ou de Limousin, ou Dauphiné, ne peuvent être penser qu’avec une vision politique qui n’est pas séparatiste, mais en lien avec les cultures de soumission ; cette culture est politique, fabriquée par le peuple occitan au fils des siècles, et assumée comme le moindre mal.
Ce moindre mal peut-il changer de camp ?
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