20111013

Les turpitudes expansionnistes et sanguinaires de l’État français

memòria antirepublicana francesa

Il ne faudrait pas oublier qu’avant d’aller outre-mer, les mouvements politiques et militaristes français furent sanguinaires aussi sur le continent européen, et à l’intérieur de ses propres frontières ; pour limiter ses méfaits il n’y a pas un bout du continent qui ne fut touché par les méfaits de l’État français, qu’il soit royal ou républicain.

Et plus particulièrement, je voudrais lister les massacres cathares, les massacres des populations d’Aquitaine entre 1453 et 1470, les massacres catholiques pendant les guerres de religions, les répressions des révoltes paysannes par les troupes royalistes, et toutes les autres répressions militaires françaises au fils des années, les recrutements plus nombreux d’Occitans pour aller sur les fronts de l’Est en 1914/18, etc. J’en oubli sûrement.

Il faut noter aussi que les Occitans ne furent pas ingrat, ils fournirent la soumission politique du Béarn et du Comté Venaissin, et plusieurs militaires hauts gradés à Napoléon, de bons petits soldats de leur colonialisme. Les Français furent aussi, grâce aux armes, et à plusieurs manipulations politiques, des exterminations de l’indépendance de Nice (1860).

Occitània a toujours été un grand terrain d’entrainement pour le national-expansionnisme français.

L’État continental européen si “joliment” hexagonal a été d’un niveau de cruauté aussi dans d’autres territoires, la liste sera simple : en Catalogne (traité des Pyrénées), Euskadi, Bretagne, Vendée, Corse, Savoie (1860), Lotharingie (1918).

On peut aussi compter les migrations forcées vers la sainte capitale comme un élément pour détruire les nations soumisses par les armes ou par les manipulations, et les économies des provinces.

Il n’y a aucune différence entre le Royal et le Républicain (malgré tous les affichages, et les livres de manipulations historiques).

C’est sûrement le seul État européen a avoir une liste si importante de méfaits récurrents sur le continent européen. De plus, pour mériter le titre de “fille ainée” de l’Église catholique, ces méfaits furent couverts par la hiérarchie catholiques et le pouvoir du Vatican. Il faut dire qu’avec Napoléon, le traitre corse et voisin, ce pouvoir vaticanesque avait aussi à craindre.

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Et au niveau international, L’État français est pire, et depuis des siècles, que le pouvoir des Bush aux États-Unis d’Amérique du Nord.

L’État français est un État voyou, depuis des siècles.

Bush RT