20110426

Vendeurs de chars

Ah qu’il est heureux d’avoir des francophones au Québec… Il semble qu’ils soient normaux, humains et joyeux.

Ceux-là sont des vendeurs de chars, non ils ne sont pas la tête de l’industrie militariste française, mais ils vendent cet engin qui passe sur nos rues, routes et pâturages (oui il faut bien le dire, les routes détruisent nos pâturages). Les RRP sont véritablement envahis par ces chars-là, leurs déplacements pour le multiples fous de la vie entre travail, maison et week-end ou dimanchée, déplacements agréés par leur GPS, et ces fous filent sans savoir réellement comment ils peuvent détruire la nature en passant sur cette route ou en sortant de la route par accident dans un pâturage.

Ces rares pâturages sont favorisés pas la politique agricole européenne… grâce à un statut spécial, essentiel pour un équilibre agricole, mais malheureusement réceptacle des chars fous.

vendeurs de chars

Malgré toutes les belles photos, il est bien sûr que dans quelques temps, la vente de ces engins encombrants par leur nombre conséquent, sera plus taxée que la vente de tout autre produit de consommation bien plus nécessaire à la bonne vie des humains, et surtout moins dangereux.

Ces chars ou 4x4 seront-ils interdit de ville ? Nos campagnes et même nos bourgs crèvent de leur présence, et surtout de l’absence de civisme des conducteurs ou conductrices.

Cet article nous apprend que le choix de l’achat de l’automobile est passé de l’homme, le chef de famille traditionnel en Europe occidentale, à la femme, indépendante ou en famille… Es-ce le cas de l’Europe occidentale ; cet article vient directement de RueFrontenac, le “journal de Montréal” en rébellion, mais tellement nécessaire pour faire survivre toutes les expressions d’une nation.

RueFrontenac s’est dressé contre deux oligopoles de presse, c’est pour cette raison que son édition est à aider à favoriser, à développer. Lor cal explica : stp RueFrontenac n’arrêtes pas ton char ! C’est bien le seul qu’il ne faut pas arrêter. Monsur Laprada (segur un occitan qu’a trapat raiças al Canadà) contunhatz d’escriure.

Car pour les autres, les militaires ou les pacifiques chars, ils sont trop nombreux. À quand un numéros clausus ?

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