La basquaise exemplaire de la république, élue plusieurs fois en Euskadi du nord, sert encore de base à un dessin d’humour. Pour être égalitaire, les mâle de la «sainte» république ont eu besoin de femmes ; tous les moyens sont alors bons, il est utile d’avoir une fille pour transmettre son siège de vieil élu. Elle est devenu ministre comme récompense de ses bons services républicains, et jouira des avantages de cette «sainte» république, avantages votés par les premiers récipiendaires de ses privilèges, affidés au système de la caste parisienne. Le concept de république bananière n’est pas une abstraction, c’est un fil continu depuis des siècles, peu importe les régimes.
Et oui, il faut bien se rappeler que les meilleurs collaborateurs au système sont ceux qui abandonnent leur identité collective, leur pays, une trahison qui est bien ressemblante à celle d’Enric III de Navarra ou Enric II de Biarn (Paris vaut bien une messe, rien n’a changé).
Pendant la foire de 1931, la coloniale, les Kanaks devaient faire les singes pour faire vrais. Les Kanaks sont reparti le 11 novembre 1931, une date triste pour les nations kanaks ; seule l’extrême-droite aura protesté à l’époque ; tout le système républicain français sera resté muet. Il collabore encore avec le système républicain français, qui n’a pas changé malgré le changement de numéro.
C’est alors que l’on voit le bal des sièges de circonscription, pour se mettre à l’abri de la république, tout en massacrant la démocratie pour le moment la mode des massacres des peuples n’est plus à l’ordre du jour], ou supposé démocratie française.
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